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La survie dans tous ses états...
6 février 2012

Marilyn Monroe, écrits intimes

Marilyn avait un talent d'écriture certain, révélé notamment par ces poèmes. Voici l'un d'entre eux...Aucun n'a de titre....peut être pour ne pas figer la pensée et l'écriture....


" Arbres tristes et doux-je vous souhaite-le repos mais vous devez rester sur vos gardes.

C'était quoi maintenant-il y a un instant-qui était important et maintenant a fui-comme le mouvement rapide d'un instant passé-peut être que je m'en souviendrai parce que ça faisait comme si ça allait devenir le mien.


Tant et tant de lumières dans les ténèbres transformant les immeubles en squelette et la vie dans les rues.

A quoi pensais-je hier dans les rues?ça semble si loin, si ancien et la lune si pleine et sombre. C'est mieux qu'on m'ait dit quand j'étais enfant ce qu'elle était sinon je ne pourrais pas la comprendre maintenant.

Bruits d'impatience des chauffeurs de taxi toujours conduisant qui ils doivent conduire-rues chaudes, poussièreuses, verglacéees pour pouvoir manger et peut être éparner pour les vacances pendant lesquelles ils conduisent leurs femmes à travers tout le pays pour visiter leurs familles à eles. Ensuite le fleuve- la partie faite de pepsi cola- le parc-dieu soit loué pour le parc.

Mais je ne cherche pas à voir ces choses

je cherche mon amant;

C'est bie qu'on m'ait dit ce qu'étais la lune quand j'étais enfant.

Le fleuve silencieux s'agite et remue dès que qelque chose passe dessus, le vent, la pluie, les gros bateaux. J'adore le fleuve-jamais affecté par quoi que ce soit.

C'est calme maintenant et le silence est seul exceptés le rondement de tonnerre des choses inconnues et au loin des coups de tambour trés présents, et sauf des cris perçans et le murmure des choses, et les bruirts aius et soudain étouffés en gémissements au-delà de la tristesse-terreur au-delà de la peur. Le cri des choses, vague et trop jeune pour être encore connu.

Les sanglots de la vie même.


Tu dois souffrir-de la perte de ton or sombre quand ta couverture de feuilles déjà mortes te quitte Fort et nu tu dois être-vivant quand tu regardes la mort droit devant penché sous le vent


Et porter la souffrance et la joie du nouveau das tes membres.


Solitude-sois calme."



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